AccueilAccueil  RechercherRechercher  MembresMembres  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  GroupesGroupes  
Le Deal du moment : -55%
Coffret d’outils – STANLEY – ...
Voir le deal
21.99 €

 

 Andrea Alvarez ⇝ where words leave off, music begins

Aller en bas 
AuteurMessage
Andrea Alvarez
⇝ La narcisse du staff ⇜
Andrea Alvarez


∞ Date d'arrivée : 16/02/2021
∞ Pseudo : m.
∞ Messages : 1597
∞ Avatar : Hailee Steinfeld (©cepoilfaitdestrucs)
∞ Multicomptes : Une petite autruche blondinette, une petite aventurière et une surfeuse pro
Andrea Alvarez ⇝ where words leave off, music begins 7sm1
∞ Statut civil : Petit cœur à prendre
∞ Âge : 26
∞ Habitation : dans une colocation complètement folle, à Old Town.
∞ Métier : Serveuse le jour, animatrice radio la nuit et matchmakeuse professionnelle à ses heures perdues !
∞ À toi la parole :
beautiful stories:
Anthony - Bottoms up!

Andrea Alvarez ⇝ where words leave off, music begins 72238096212d92c42123cb13fd0f074861702bb2 Andrea Alvarez ⇝ where words leave off, music begins 515879997a4a959e70724ad81d7a8852eac50e88 Andrea Alvarez ⇝ where words leave off, music begins 39bae0fc59ba0854874f98fefd9be8ef
La coloc infernale ♡

sweet memories:
Anthony #1 #3- Gabriela #1 #2 - Lucas #1 #2- Gabriela & Theo #1 - Défilé de mode - Augusta - Emma #1- Finny - Gabi, Theo & Zoey -



Andrea Alvarez ⇝ where words leave off, music begins Empty
MessageSujet: Andrea Alvarez ⇝ where words leave off, music begins   Andrea Alvarez ⇝ where words leave off, music begins EmptyMer 6 Oct - 23:28

don't let the world tame your wild
SUMMER
Nom : Alvarez.
Prénom : Andrea.
Surnom : On m'a récemment nommée Narcisse, un surnom qui me colle parfaitement à la peau.  
Âge : vingt-trois ans, l'âge de toutes les possibilités.
Date de naissance : Je suis née lors d'une journée ensoleilée, le 6 mai 1998.
Lieu de naissance : à Los Angeles.
Nationalité : Américaine
Situation familiale : Célibataire et libre comme l'air.
Orientation sexuelle : Hétérosexuelle
Métier/Études : Serveuse au On the Rocks le jour, animatrice d'une émission 100% Rock'N'Roll la nuit.
Statut financier : Depuis mon plus jeune âge, je vis dans un milieu modeste. Cependant, je n'ai jamais manqué de rien. Aujourd'hui ça reste compliqué après la fin de mes études, je jongle entre deux boulots et j'habite en colocation avec mon meilleur ami.
Caractère :Pétillante, pleine de vie, casse-cou, spontanée, franche, têtue, intrépide, sportive, curieuse, enfantine, taquine, ambitieuse, folle, courageuse, sarcastique, drôle, énergique, sociable, solaire, directe, aventureuse, lourde.
À Hilton depuis : un peu plus de dix-sept ans maintenant.
Avatar : Hailee Steinfeld.
Crédit de l'avatar : chuckie.
Inventé, pré-lien ou scénario : (taguez ici la personne concernée) scénario du vilain  @Theo Alvarez  angel
réserve ton avatar

Code:
« <réservé> Hailee Steinfeld</réservé> ● <norm> Andrea Alvarez </norm>»
ton histoire
Je suis venue au monde un six mai, lors d’une journée ensoleillée de printemps, pour accueillir le petit rayon de soleil que je suis. Depuis, j’illumine la vie de mes proches — ou je les embête un peu trop, c’est la même chose non ?
J’ai grandi dans un foyer rempli d’amour et d’épices, au milieu de toutes mes sœurs et de mon frère. Dans une maison bruyante et pleine d’amour, rythmée par les disputes d’enfants, les rires, les larmes parfois, les jurons en espagnol, les bêtises, les complots entre frère et sœurs… ou soyons honnêtes : des complots entre sœurs contre le seul garçon de la famille. Les sœurs Alvarez sont redoutables quand elles le veulent. Une famille nombreuse dans laquelle on ne s’ennuie jamais, adieu le silence quand il y a quatre filles dans la même maison. Mais on ne se sent jamais seule dans une aussi grande famille, avoir des frères et des sœurs, c’est comme avoir des amis pour la vie. Qu’est-ce que j’ai adoré grandir en étant autant entourée. Il n’y a rien que je ne ferais pas pour ma famille…

Enfant, j’étais fougueuse et pleine de vie. Je ne voulais que bouger, bouger et… bouger ! Toujours là pour courir dans tous les sens comme une petite tornade, à la recherche de la prochaine bêtise à faire. J’ai parfois encore bien du mal à canaliser mon énergie débordante et la petite casse-cou que je suis a dû donner des cheveux blancs à ma mère bien avant l’âge.
L’insouciance s’est légèrement estompée après le départ soudain de mon père. J'étais âgée de seulement six ans quand il est parti travailler un matin, sans jamais revenir. Mes souvenirs de cette période sont assez flous, je me rappelle simplement que les mois qui ont suivi n’étaient pas fun. Sans vraiment plus d’explications que ça, il a abandonné sa femme et ses cinq enfants du jour au lendemain. Dans mon esprit d’enfant, je ne comprenais pas le mal, aujourd’hui je me demande ce qui lui est passé par la tête. Dix-sept ans plus tard… il est toujours aux abonnés absents ! Ça n’a vraiment pas été facile pour toute la famille, et même si ma mère ne l’a jamais vraiment montré, je sais que ça a été particulièrement dur pour elle. La fuite de « l’homme de la famille » a engendré pas mal de changements… Los Angeles qui m’a vu grandir ne serait plus qu’un lointain souvenir. On a fait nos valises et on s’installe tous les six dans une petite ville voisine, au nom d’Hilton, bien loin de toute l’agitation de la cité des anges. Pour nous, petits, c’est l’année des changements. Après le départ de notre père, on perd nos repères dans la maison et la ville qui nous a vu grandir. Mais peut-être qu’un nouveau départ est la chose dont nous avons le plus besoin. C’est comme ça qu’on emménage dans notre nouveau chez nous, où je partage une chambre avec ma sœur Gabriela. Déjà proches, ça ne fait que renforcer notre complicité et on devient bien vite inséparables.
Maman s’est donnée comme mission de combler l’absence que notre père a laissée derrière lui, elle veille à ce qu’on ne manque de rien, mais ce n’est pas facile quand on a une aussi grande famille. Théo est bien vite devenu la seule présence masculine de la maison. Presque comme un deuxième papa pour ses petites sœurs, on a toujours pu compter sur lui, il a toujours pris soin de nous.
Encore aujourd’hui il m’arrive de me demander pourquoi. Pourquoi abandonner sa famille ? Est-ce qu’il ne nous aimait plus ? Est-ce qu’il a trouvé mieux ailleurs ? Un grand point d’interrogation et des questions auxquelles je n’aurais jamais de réponses. Bien que je ne garde pas énormément de souvenirs de mon père, je ne peux m’empêcher de me demander s’il reviendra un jour et comment je réagirais si c'était le cas… est-ce qu’on lui manque ? Il y a cette part de curiosité en moi qui voudrait savoir et qui ne cesse d’imaginer des millions de scénarios…

D’aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours été bercée par la musique. Que ce soit par maman et ses chants rythmés dans la cuisine, ou alors avec mes concerts improvisés dans le salon familial aux côtés de Gabi qui danse et se donne en spectacle… J’ai toujours eu la musique dans la peau. Dans ma tête, chaque moment, chaque souvenir est associé à une musique… Malgré les difficultés que notre famille rencontre depuis le départ de notre père, je n’ai jamais manqué de rien. Après l’année difficile que nous avions tous traversé et tous les changements autour de nous… nous avions besoin d’un peu de joie et de gaité. C’est comme ça que pour mes sept ans, mon frère m’offre une jolie guitare. Excitée comme une puce en la déballant, je me rappelle encore l’avoir regardé avec des petits yeux ronds, émerveillés, pétillants. Mon instrument, le mien. Je n’en reviens pas. Elle est magnifique. Unique avec ses griffures et ses cordes déjà usées qui suggèrent qu’elles n’en sont pas à leur première utilisation. Comme si, à chaque effleurement, elles avaient une histoire à conter. Bien sûr à l’époque, je n’avais aucune notion de musique. Tout ce que je voulais c’était faire du bruit. Je redoublais d’imagination en inventant des mélodies composées plus de fausses notes que de bonnes. Je les ai usées ces cordes, jusqu’à m’en faire des cloques aux doigts et peut-être les oreilles de ma famille avec… je crois qu’après de multiples concerts et fausses notes, Théo regrette un peu de me l'avoir offerte, mais c’est vraiment le plus beau des cadeaux qu’on aurait pu me faire et j’adorais considérer ma famille comme mes plus grands fan ! Je ne me suis jamais séparée de cette guitare, encore aujourd’hui, elle traîne dans ma chambre et j’aime encore gratter quelques cordes. Elle me rappelle à quel point j’aime la musique et toutes les heures passées avec Gabriela à essayer d’écrire des chansons qui voulaient dire tout et n’importe quoi… Petit à petit, j’ai commencé à créer quelques jolies mélodies, jusqu’à ce que j’arrive à complètement maitriser mon instrument.

À l’adolescence, j’ai gardé mon âme d’enfant et fidèle à moi-même, je ne veux que m’amuser. Je ne tiens toujours pas en place et cherche toujours quelque chose à faire. Surtout des activités qui me procureraient cette sensation d’adrénaline que j’aime tant, qui me fait me sentir vivante. Un saut en parachute, de l’escalade, du surf… tant que je m’amuse et que je me dépense. Ma mère me supplie d’être prudente pendant que je me fais parfois remonter les bretelles par mon frère si je prends trop de risques. Grand frère un peu trop protecteur, malgré mes multiples plaintes et soupirs. Théo exagère bien souvent, tellement que Gabriela se fait un plaisir de l’appeler papa poule. Mais il a toujours été un pilier dans ma vie. Je ne lui dis pas souvent, voire même presque jamais, mais je suis reconnaissante de l’avoir dans ma vie. Il est toujours là pour nous, pour les bons comme pour les mauvais moments. Mes sœurs et moi savons que nous pouvons compter sur lui quand ça ne va pas et à quel point nous sommes chanceuses de l’avoir. Même lorsqu’il ronchonne quand je l’embarque dans mes folies. Mais il me suit à tous les coups, car je sais qu’il ne veut que mon bonheur. Un jour je vais finir par avoir sa peau à coups d’activités dangereuses qui ne sont pas toujours sa tasse de thé… mais il est toujours là, partant pour m’accompagner dompter les vagues dans l’océan. Malgré ses chutes, ou le fait qu’il boit souvent la tasse. Je n’aime pas seulement ces moments parce que j’en profite pour le noyer ou pour me moquer de sa façon de prendre les vagues… mais parce que c’est aussi notre petit moment à nous. Comme avec le reste le fratrie, j’aime partager des choses avec eux. Même si nous ne voyons pas toujours les choses du même œil, c’est dans ces moments-là que nous étions les plus complices… mais chut, c’est un secret !

À l’école, je ne suis pas une mauvaise élève, mais je ne me démarque pas non plus. À vrai dire, je ne m'en donne pas trop les moyens, parce que l’école ce n’est pas quelque chose qui est vraiment fait pour moi, ou qui m’intéresse réellement. C’est de la torture pour moi de rester une journée entière assise sur une chaise, forcée à écouter des professeurs parler pendant des heures et des heures… Ça met ma patience à rude épreuve ! Moi, tout ce que je veux, c’est faire de la musique et du sport… en dehors de ça, rien ne m’intéresse réellement et je n’arrive pas à me projeter dans le futur. Mon temps libre ? Je le passe la plupart du temps avec des copains, à gratouiller ma guitare et c’est ce qui me rend heureuse.
C’est d’ailleurs comme ça que j'ai rencontré Cole. Il jouait tout seul au beau milieu des rues d'Hilton, près de la plage. Je me rappelle l’avoir trouvé vraiment courageux de se planter en plein milieu de la rue et de dire ‘hey écoutez-moi!’. Forcément, curieuse comme je suis, ça m’a intriguée. Je l’ai écouté jouer pendant quelques heures, envoûtée par sa voix qui pourrait faire craquer n’importe qui. On a vite sympathisé quand je me suis avancée pour l’encourager. De fil en aiguille, dans la conversation, il m’invite à me joindre à lui lors de son prochain concert de rue. Je ne me suis pas fait prier longtemps, tant que je pouvais jouer…
Difficile d’ignorer notre alchimie, peut-être pas seulement musicale, si bien que toutes les semaines je n’attends qu’une seule chose : qu’on soit samedi matin pour le rejoindre et qu’on joue ensemble. C’était la première fois que je tombais amoureuse. C’était doux, intense, musical, mais surtout passionné.

Puis un jour l’idée nous est venue avec les copains musiciens : et si on montait un groupe ? Tous les gamins de notre âge rêvent d’en monter un et en peu de temps nous étions au complet. Un à la basse, une à la batterie, un au piano, moi à la guitare et au chant et c’est comme ça que Sweet Wreckage émerge. On est qu’une bande de gosses, passionnés par la musique, mais avec le désir de faire quelque chose de nos dix doigts. Bien sûr, on monte ce groupe, mais on joue plus pour nous que pour le succès. Même si on s’est amélioré avec le temps, je ne sais pas trop ce que valent nos compositions. Mais tout ce qui compte, c’est qu’on s’éclate tous ensemble !
Je crois que c’est Cole à l’époque qui nous lance l’idée d’essayer de se produire dans des petits coins. Il s’est lancé lui-même avec son groupe et apparemment, ils font quelques dates. Sans rémunération bien entendu, mais ils ne se produisent pas pour l’argent. C’est d’ailleurs toujours Cole qui nous trouve notre première date, pour une fête  dans un sous-sol délabré qui ne donne pas particulièrement envie… mais c’est de cette façon que nous avons débuté. On joue là où le vent nous porte et surtout, là où on veut bien de nous.

À la fin du lycée, ma relation avec Cole vient tout naturellement à sa fin. Il part étudier du côté de Boston et je suis celle qui lui dit qu’une relation longue distance n’est pas envisageable. C’est à ce moment-là, sur les bancs de l’université qu’on lance réellement Sweet Wreckage. En même temps, j’entame des études de musique à l’université d’Hilton, ultra motivée de partir dans quelque chose qui me plaît. Je choisis la facilité, mais à part la musique, rien ne m’intéresse vraiment. Je rêve — sans toutefois oser le dire à voix haute — de pouvoir un jour vivre complètement de ma passion. Ce rêve m’empêche de me projeter dans autre chose. C’est donc lors de notre première année à l’université que le groupe prend de l’ampleur et un peu de succès. On se produit dans des bars du campus, mais en dehors aussi. Si bien que nous ne sommes plus payés en bières, mais bien avec de l’argent.
Au fur et à mesure et avec le bouche à oreille, on a fini par trouver une bonne dynamique de groupe et à se produire deux à trois fois par semaine. C’est à ce moment-là que j’ai décidé de quitter mon cocon familial et de m’installer dans mon propre appartement. L’argent des concerts est pratique pour payer le loyer et pour m’en sortir financièrement, je me mets en colocation avec Lucas, bassiste du groupe et mon meilleur ami depuis toujours. Qu’est-ce qu’on se marre tous les deux ! Comme les revenus des concerts restent encore aléatoires, pour assurer mon indépendance et joindre les deux bouts, je dégote un petit job de serveuse dans un bar et fais quelques heures en parallèle de mes études. C’est parfois épuisant, même pour la pile électrique que je suis… mais je suis heureuse d’avoir la chance de faire ce qui me plaît le plus. Je respire musique, je mange musique, je dors musique… et j’adore ça !

Aujourd’hui, je viens tout juste de recevoir mon diplôme et je me suis lancée à la recherche d’un premier boulot. Je ne pars pas avec trop d’illusions, je sais à quel point c’est difficile de se lancer dans le domaine musical. Au départ, j’ai laissé pas mal de candidatures dans des petits labels qui cherchent des stagiaires, sans grande conviction, avec l’idée de pouvoir en intégrer un qui m’ouvrirait des portes. À la place, c’est une petite affichette chez mon disquaire préféré que je trouve et qui attire mon attention. Une radio locale cherche quelqu’un pour animer une émission nocturne 100% Rock’N’Roll. C’est fun, c’est drôle, c’est insolite… comme moi ! J’ai pris ça pour un signe du destin, comme si ce poste était fait pour moi et n’attendait que moi. Je me suis directement pointée au studio, un peu spontanément, pour me présenter. J’ai tout de suite accroché avec l’image de la radio et surtout l’équipe. Selon eux, j’apporte un point de vue jeune et frais que la radio recherche. On m’a proposé le créneau de nuit, d’une heure à cinq heures du matin. J’ai bien entendu tout de suite accepté, excitée à l’idée de partager ma passion sur une radio aussi cool !
Aujourd’hui, je m’éclate complètement dans ce job. Parler musique, c’est ce qui m’anime et je ne vois pas une meilleure façon de travailler. Je suis payée à faire ce que j’aime : écouter de la musique, jouer parfois, débattre pendant des heures avec des passionnés. Les lundis, mercredis et vendredis. Le seul inconvénient est que le job ne paye pas beaucoup. Mais il faut bien commencer quelque part, pas vrai ? Comme je ne peux pas me permettre de quitter mon poste de serveuse au On The Rocks, je jongle donc entre les deux.
Je me vois un peu à l’image d’une super-héroïne. Serveuse le jour, animatrice radio la nuit. Bon je sauve pas des vies, mais ça vaut le coup ! Les soirs où je ne parle pas à la radio, je continue de me produire avec mon groupe. Hors de question d’oublier à quel point j'aime être sur scène. Je mène une vie bien mouvementée, mais qu’est-ce que j’adore ça !

Aussi occupée que je sois, je ne suis que pleinement épanouie en présence de ma famille. Je trouve toujours le temps de les voir autant. C’est important pour moi de prendre le temps de les voir et de partager de bons moments tous ensemble. Ils me manqueraient bien trop autrement…
Je n’oublie pas non plus de m’amuser et de profiter de ma jeunesse. J’ai toujours adoré sortir et faire de nouvelles rencontres, ça ne change pas. J’ai besoin de recharger mes batteries avec des interactions sociales… et de faire un peu l’imbécile au milieu de mes amis bien évidemment ! Et bien que les garçons ne soient pas ma priorité en ce moment, il m’arrive de dragouiller en soirée… jamais rien de bien sérieux depuis Cole.
Moi qui adore sortir et faire la fête, je fais pas mal de rencontres en soirée. Dernièrement, j’ai fait l’intéressante rencontre d’un exhibitionniste lors d’une soirée étudiante sur la plage. Ma pote a trouvé ça ‘drôle’ de me pousser alors que nous étions en train de danser et je me suis littéralement écrasée sur un gars que j’entraînais dans ma chute. Déjà un peu pompette je n’arrive pas à rester sérieuse bien longtemps malgré mes excuses. Ma bière s’est renversée sur son t-shirt qu’il a dû enlever et a fait redoubler mes rires. Des excuses, des plaisanteries, des taquineries et voilà qu’on se retrouve à passer un bon moment ensemble. Le courant est tout de suite passé entre nous, il semble aussi fêlé que moi. Il a de l’humour et de la conversation, ça me plaît bien ! J’hérite au passage d’un magnifique surnom avant de rejoindre mes potes, sans savoir que je finirais par recroiser Anthony.
Hilton est plus petit qu'on ne l’imagine, c’est chez le disquaire du coin que je croise à nouveau l’exhibitionniste de la plage, cette fois-ci vêtu d’un t-shirt. Si je ne l'avais jamais croisé jusqu’à maintenant, le retrouver entre les bacs est une belle surprise. Je découvre alors qu’il est tout autant passionné de musique que moi. On échange une longue conversation sur nos groupes préférés, ceux qu’on aime un peu moins, toujours dans la bonne humeur et avec légèreté. Conversation qui entraînera un nouveau surnom pour Anthony, celui de Monsieur Critique. C’est facile de le taquiner et de plaisanter avec lui. J’apprends également qu’il est musicien, bassiste pour être plus exacte. Lui aussi fait partie d’un groupe. Tout de suite l’inconnu de la plage attise encore plus ma curiosité et on laisse flotter l’idée d’une invitation à un de nos concerts respectifs… Je suis toujours partante pour aller voir un concert et découvrir de nouveaux artistes. Surtout les talents locaux, qui sont parfois de vrais perles rares.
Curieuse de voir Anthony dans son élément, je me rends un soir dans un bar où son groupe joue. Je le découvre pour la première fois sur scène, lui ainsi que les morceaux du groupe. J’ai passé un bon moment et on a même eu l’occasion de boire une bière ensemble. Cette fois j'ai réussi à la garder en main et à épargner son t-shirt, le temps qu’on discute et qu’on passe encore une fois un bon moment ensemble. Qu’on partage la même passion avec ce beau garçon n’est pas pour me déplaire… J’espère qu’on sera amené à se recroiser, parce que s’il y a bien une chose qu’on peut dire, c’est qu’on ne s'ennuie pas avec Anthony !   
La plume derrière le personnage
Coucou les petits Hiltoniens, moi c'est Marie, mais on me connaît mieux sous le nom de Marie. Je viens du suuuuud et j'ai vingt-cinq ans. Je fais du rp depuis un peu plus de dix ans, avec quelques pauses. J'ai connu Back to Hilton grâce à mes petites mains. Ah, et je voulais aussi vous dire que inlove  hrt .  

→ ∞ ∞ ∞ ∞ ∞ ∞ ∞ ∞ ←

all good things are wild and free
“some people are like music, you can never put into words how they make you feel.”
Revenir en haut Aller en bas
Theo Alvarez
⇝ Admin ∞ L'écrevisse ⇜
Theo Alvarez


∞ Date d'arrivée : 07/02/2021
∞ Pseudo : Mathilde
∞ Messages : 728
∞ Avatar : Matthew Daddario
∞ Multicomptes : Un avocat sexy, un disquaire sarcastique, un conservateur déprimé et un Cookie Monster affamé
Andrea Alvarez ⇝ where words leave off, music begins Ew8v
∞ Statut civil : Sous le charme d'une jolie brune
∞ Âge : 33
∞ Habitation : 23 Pine Street
∞ Métier : Ambulancier
∞ À toi la parole : Andrea Alvarez ⇝ where words leave off, music begins Jvwh

→ ∞ ∞ ∞ ∞ ∞ ∞ ∞ ∞ ←

RP en cours :
[12] Love is in the air => Zoey Cooper, Gabriela Alvarez et Andrea Alvarez
[14] Good food at the beach => Nina Alvarez


Andrea Alvarez ⇝ where words leave off, music begins Empty
MessageSujet: Re: Andrea Alvarez ⇝ where words leave off, music begins   Andrea Alvarez ⇝ where words leave off, music begins EmptyVen 15 Oct - 16:18

⇝ Libérée ... je suis validé(e) ⇜

Andrea Alvarez ⇝ where words leave off, music begins Tumblr_mesd5cLt2t1r3ws4u

⇝ Félicitations ⇜



On peut dire que ce n'était pas gagné et que ta petite Andrea/Narcisse se sera fait attendre , mais ta fiche mise à jour est arrivée avant l'ouverture bounce oups
C'est un plaisir de retrouver l'avant dernière Alvarez, même si elle est complètement dingue et qu'elle peut être une vraie enquiquineuse, c'est pour ça qu'on l'aime aussi ahah love
J'ai hâte de retrouver son énergie, son humour (douteux), sa passion pour la musique, et même sa curiosité sans limite oups
Hâte de la voir aussi en tant qu'animatrice radio, ça lui va tellement bien moh
Merci de faire partie de la super famille Alvarez ! love


⇝ Ce qu'il faut savoir ⇜


Voilà, le plus beau moment est arrivé, c'est officiel, tu es enfin validé(e), félicitations ! L'étape la plus fastidieuse est maintenant derrière toi. Tu vas désormais pouvoir te familiariser avec le forum. Et comme la team de ce forum est super sympathique, elle va te donner un petit coup de main.
Tout d'abord, tu peux aller créer et poster ta fiche de lien, ensuite tu trouveras dans cette petite rubrique diverses demandes (création de ton logement, création d'un lieu si tu en veux un qui n'existe pas encore sur le forum, recherche de partenaire, recherche de RP).
Pour que tu sois encore plus comblé(e), n'hésite pas à venir créer ton scénario ou pré-lien, qu'ils soit amoureux, familial ou autre.
Et si tu as envie de discuter ou alors de partager ton petit quotidien, c'est dans la partie communication.
Et pour finir, un coin que tout le monde connait, un coin où tout le monde adoooore aller, c'est le flooooooooooooood.


→ ∞ ∞ ∞ ∞ ∞ ∞ ∞ ∞ ←

Theo Alvarez
Family is a life jacket in the stormy sea of life.
Revenir en haut Aller en bas
 
Andrea Alvarez ⇝ where words leave off, music begins
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Andrea Alvarez ⇝ where words leave off, music begins
» Famille Alvarez
» Gabriela Alvarez | You Can Have All You Ever Wanted
» Theo Alvarez - Family is everything
» Gabriela Alvarez | Defying Gravity

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
∞ Back to Hilton ∞  :: Votre passeport pour Hilton :: Votre passeport :: Passeports validés-
Sauter vers: